Kitty Wells, féministe du country avant l’heure
La toute première reine de la musique country, Kitty Wells est devenue une star lorsqu’elle a enregistré une « chanson réponse » au hit de 1952 de Hank Thompson, « The Wild Side of Life » avec « It Wasn’t God Who Made Honky Tonk Angels », commentaire féminin sur la première pièce, qui est devenu la première chanson d’une femme à atteindre la première place des charts country.
Personne n’a été surprise par le succès de cette chanson que Wells, née Muriel Deason à Nashville en 1919.
Épouse de Johnny Wright (la moitié du duo Johnny et Jack), elle jouait de la guitare et chantait depuis son enfance, mais avait presque renoncé à devenir une artiste professionnelle lorsque sa chanson a fait un tabac.
Elle a été classée dans le Top 10 de C&W pendant 161 semaines d’affilée. Elle n’a pris sa retraite à l’âge de 81 ans avant de décéder en 2012.
Archéologue musical depuis ses 15 ans en 1983 (ouais, ça sent Popoca la momie aztèque ici!), Eric traîne ses savates de sillon en sillons, du punk au classique, de l’industriel au jazz, du psychotronique au folk, et de la variété au world beat. Bien évidemment, ça fait beaucoup de bagages si on y ajoute toute de sorte de ragots, de rumeurs et de bavardages à moitié bien rapportés en live. Mais il aime tout cela le brave et donne de son sang et de son temps. On lui pardonnera donc sans confession !