Beiderbecke, premier soliste blanc du jazz
Né à Davenport, dans l’Iowa, le cornettiste autodidacte Beiderbecke a d’abord été exposé au jazz par le biais de disques et de ses visites dans les clubs de Chicago.
La carrière de Beiderbecke, malheureusement courte mais influente, a été définie par les groupes et les relations musicales qu’il a forgés dans les années 1920. Les deux collaborations les plus notables de Beiderbecke à cette époque sont celles qu’il a eues avec le saxophoniste Frankie Trumbauer et avec l’orchestre de Paul Whiteman, en tant que soliste vedette.
Beiderbecke était considéré comme une figure importante en raison de son style de cornet unique et de sa capacité à se produire en solo avec succès dans un style différent de celui de Louis Armstrong.
Beiderbecke jouait du cornet, qui a un son plus chaud et plus sombre que la trompette. Malgré son alcoolisme, Beiderbecke a connu le succès et a travaillé en free-lance avec plusieurs artistes importants à la fin des années 1920 et au début des années 1930, notamment Tommy Dorsey et Benny Goodman, avant de mourir à l’âge de 28 ans.
Archéologue musical depuis ses 15 ans en 1983 (ouais, ça sent Popoca la momie aztèque ici!), Eric traîne ses savates de sillon en sillons, du punk au classique, de l’industriel au jazz, du psychotronique au folk, et de la variété au world beat. Bien évidemment, ça fait beaucoup de bagages si on y ajoute toute de sorte de ragots, de rumeurs et de bavardages à moitié bien rapportés en live. Mais il aime tout cela le brave et donne de son sang et de son temps. On lui pardonnera donc sans confession !