Billie Holiday : la grande dame du jazz
Billie Holiday (née Elenora Fagan) a commencé à chanter dans des clubs de Brooklyn et de Harlem au début des années 1930 avant d’enregistrer avec Benny Goodman en 1933.
Elle a également chanté avec Teddy Wilson de 1935 à 1939, en plus de travailler avec Count Basie et Artie Shaw.
De 1936 à 1942, Holiday enregistre en tant que leader de ses propres groupes. Ces enregistrements, combinés à son travail avec Wilson et Lester Young, sont parmi les plus populaires et les plus durables.
Holiday devient extrêmement populaire au début des années 1940, sa carrière s’aventurant même au cinéma avec le film New Orleans, dans lequel elle apparaît avec Louis Armstrong.
En 1947, Holiday, qui comptait l’héroïne parmi ses vices, est emprisonnée pour trafic de drogue ; elle sera arrêtée pour possession à plusieurs reprises et au début des années 1950, elle perd sa carte de cabaret.
Elle continue à enregistrer pendant les années 1950, mais à ce moment-là, sa dure vie a fait des ravages. Le style d’interprétation de Holiday et son phrasé détendu l’ont consacrée comme l’une des plus grandes chanteuses de jazz
Archéologue musical depuis ses 15 ans en 1983 (ouais, ça sent Popoca la momie aztèque ici!), Eric traîne ses savates de sillon en sillons, du punk au classique, de l’industriel au jazz, du psychotronique au folk, et de la variété au world beat. Bien évidemment, ça fait beaucoup de bagages si on y ajoute toute de sorte de ragots, de rumeurs et de bavardages à moitié bien rapportés en live. Mais il aime tout cela le brave et donne de son sang et de son temps. On lui pardonnera donc sans confession !