
Doc Watson : rockabilly, bluegrass, blues et folk
Élevé dans les collines de Caroline du Nord, Arthel « Doc » Watson a appris à jouer de la guitare quelques années après qu’une maladie infantile l’ait rendu aveugle.
Pendant son adolescence, Doc a perfectionné un extraordinaire style de jeu de flat-top picking tout en se produisant dans la rue pour des pourboires.
Il se passionne pour le rockabilly dans les années 1950, jouant de la guitare électrique dans des groupes de danse avant de rencontrer le vieux banjoïste Clarence Tom Ashley.
La musique de vieux péquenaud du duo s’est fait connaître au niveau national pendant le renouveau du folklore du début des années 1960.
Le jeu de guitare complexe et précis de Watson et son timbre de voix sourd ont fait de lui une star du circuit des festivals et des cafés. Il est tout aussi à l’aise sur des morceaux aussi variés que le uptempo « Black Mountain Rag », le bluesy « Never No More Blues » et le gospel « Daniel Prayed ».
Doc a continué jusqu’à son décès en 2012 à se produire ainsi qu’à diriger l’un des festivals de bluegrass les plus populaires du Sud, le MerleFest, nommé en l’honneur de son fils et partenaire de spectacle, décédé dans un tragique accident de tracteur en 1985.

Archéologue musical depuis ses 15 ans en 1983 (ouais, ça sent Popoca la momie aztèque ici!), Eric traîne ses savates de sillon en sillons, du punk au classique, de l’industriel au jazz, du psychotronique au folk, et de la variété au world beat. Bien évidemment, ça fait beaucoup de bagages si on y ajoute toute de sorte de ragots, de rumeurs et de bavardages à moitié bien rapportés en live. Mais il aime tout cela le brave et donne de son sang et de son temps. On lui pardonnera donc sans confession !